L'utilité des réseaux sociaux
Aujourd'hui les consommateurs veulent être rassurés sur les produits qu'ils consomment et être écoutés. L'entreprise l'a bien compris et utilise les réseaux sociaux pour faire face à ces nouveaux défis de communication. Pour Julia Savin, "cela fait quelques années maintenant, que l'entreprise a établi une stratégie de communication plus proche du consommateur". Présent sur Facebook, Instagram, Flickr ou Pinterest "notre stratégie B to C fonctionne bien, nous avons de bons retours", assure Julia Savin. "Nous mettons en place des opérations personnalisées afin de créer des processus de fidélisation". Sur leur site Internet la marque a créé un club qui donne accès à de nombreux avantages clients.Une mise en avant des pratiques de développement durable
C'est dans le cadre de sa démarche RSE (responsabilité sociale des entreprises), baptisée Imagine, que Pink Lady a mis en place tout un panel de dispositifs. L’objectif est de communiquer sur les exigences de qualité que s’impose le groupe afin de respecter les principes du développement durable. Julia Savin met l'accent sur leur politique du zéro gaspillage. "En Espagne nous avons lancé, en partenariat avec l'industrie, des yaourts fabriqués avec des fruits abimés pour éviter le gaspillage". Imagine c'est aussi une démarche d'accompagnement et de mise en valeur de ses collaborateurs. Avec la création du trophée Talent Pink lady "le but est de récompenser et d'encourager nos producteurs, collaborateurs et distributeurs", précise Julia Savin.La commercialisation des Pink lady commence le 2 novembre prochain avec des opérations promotionnelles renouvelées, nouvelle campagne télé et partenariat avec le film Moi, moche et méchant pour sensibiliser les enfants. Une saison qui prévoit plus de 178 000 tonnes de pommes roses dans toute l'Europe. En France, en comparaison avec de nombreux pomiculteurs, la production de Pink Lady n’a subi que 5 à 10% de perte.