Reprise d’exploitation : les bonnes conditions pour s’assurer un revenu

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Nicolas Gorse a repris en décembre 2022 l'exploitation de son père. Il cultive aujourd'hui 8 ha de pommes et élève une quarantaine de bovins viande de race limousine.

Crédit photo Nicolas Gorse
Après cinq ans de réflexion et de préparation, Nicolas Gorse, ancien technico-commercial, a pris la suite de son père en 2022. Il cultive 8 ha de pommes et élève une quarantaine de bovins viande à Allassac, en Corrèze.
Nicolas Gorse a toujours voulu reprendre la ferme de son père. « Ça me tenait à coeur », dit-il pudiquement. Mais avec une quarantaine de bovins viande et 6 ha de pommes, l’exploitation ne permettait pas d’assurer deux salaires.

Alors, son Bac pro production animale en poche, ce Corrézien s’est orienté d'abord vers le métier de technico-commercial en grandes cultures destinées à l’élevage et en arboriculture. « Surtout la pomme », précise-t-il. Comme une manière de garder un pied dans la ferme qui l’a vu grandir.  

Comme une manière, aussi, de se préparer à la reprise. En 2017, « après une bonne année de réflexion » et la retraite de Régis approchant, père et fils décident…
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