Dans le Tarn-et-Garonne, Jérôme Capel a déployé sur ses 60 ha de verger un réseau de capteurs capacitifs et de capteurs météo. Des outils centraux dans son adaptation au changement climatique.
Maîtriser l’usage de l’eau, c’est la première chose qu’a faite Jérôme Capel lorsqu’il a pris la suite de son père, en 2014. Situé à Cazes-Mondenard, dans le nord du Tarn-et-Garonne, son verger est environné de petits cours d’eau. Mais les grands, le Tarn voisin, le Lot et la Garonne, sont trop loin pour alimenter le goutte-à-goutte. Face à cette ressource en eau « délicate », l’arboriculteur a donc « déployé tout ce qui existait pour l’économiser et mieux la gérer ». « On a commencé par faire scanner les sols, des blocs de parcelles, pour mesurer leur conductivité parce que ça a un rapport avec leur capacité à retenir l’eau », développe celui qui exploite 60 ha, dont 30 ha de…
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