Monsanto a reconduit les termes de sa première offre, proposant 449 francs suisses par action. Il y a ajouté une indemnité dite de « rupture inverse » de deux milliards de dollars, au cas où l’affaire ne puisse pas se faire pour des questions de loi antitrust.
Pas de quoi séduire Syngenta, qui a de nouveau éconduit Monsanto et son offre qu’elle juge inadéquate et dérisoire. « Monsanto n'a fait aucune tentative pour répondre sérieusement à ces inquiétudes », a affirmé l’agrochimiste.
De nombreuses rumeurs circulent dans la profession sur ce dossier : certains évoquent le fait que Monsanto ne garderait pas dans son giron l’activité de commercialisation de semences – ni la sienne, ni celle de Syngenta - et n’en garderait que la création variétale. Ceci afin d’éviter les bloquages liés aux lois antitrust, d'améliorer son image mise à mal dans l'opinion publique, et de se recentrer sur la chimie.
Alors…
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