Le pari écologique et industriel de la start-up Ÿnsect

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Les caisses remplies de larves s’empilent sur de grandes hauteurs,  d’où le nom de ferme verticale. Photo : Ÿnsect
Après un démarrage en trombe sur l’alimentation animale, la start-up Ÿnsect continue sur sa lancée avec des ingrédients à base d’insectes pour l’agroalimentaire. Elle place ses unités au milieu des zones de production agricole.

Les projecteurs se sont braqués sur les insectes depuis que la Commission européenne a classé les grillons domestiques comme aliments pour l’homme, le 11 février dernier. Il s’agit pourtant du troisième insecte autorisé, après le criquet migrateur et le ver de farine séché (Tenebrio molitor).

C’est cette dernière espèce qu’élève et transforme l’entreprise Ÿnsect, dans ses fermes verticales de Dole et Amiens. Le ténébrion a été choisi parmi 1 000 autres espèces possibles.

Antoine Hubert, cofondateur et CEO, explique :

Exergue n°428930
« La sélection s’est faite pour sa forte teneur en protéines, ses facilités d’élevage à grande échelle et son coût de production. »


Les installations d’élevage de la start-up utilisent une technologie basée sur des processus automatisés afin de produire des insectes de haute qualité avec un cahier des charges environnemental affirmé : l’activité dégagerait 40 fois moins de CO2 et consommerait 30 fois moins d’eau…
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