Cette étude, menée par Catherine Baros avec la collaboration de Danièle Scandella, durant l’été 2018, incluait un volet qualitatif consistant à observer, à comprendre et à analyser les attitudes et les comportements de 22 consommateurs, puis une enquête quantitative auprès de 2084 individus.
Les principaux enseignements sont les suivants :
- le mode de production de la tomate, globalement méconnu, n’est pas le principal critère de choix de la tomate par le consommateur;
- il recherche d’abord la saveur, le plaisir et un prix ; la saisonnalité et l’origine France restent importantes;
- une meilleure perception du bio qu’auparavant, mais il semble peu connu et souvent qualifié de trop cher;
- sur les points de vente, l’offre « en démarche sans pesticides ou zéro résidu de pesticides » n’est pas forcément vue ou bien comprise, mais elle est perçue comme positive et responsable.