Comment est né le programme Coesio ?
Samuel Carpentier : Avant la Covid-19, certains modes de transport étaient déjà en tension, avec une pénurie de chauffeurs routiers par exemple. Avec la crise sanitaire, on s’est aperçu non seulement de la tension mais aussi de la fragilité de nos chaînes logistiques. D’où la nécessité d’agir, et d’agir vers davantage d’intermodalité. Suite aux demandes des délégués des différents axes logistiques de leur faire remonter des données, nous avons aussi pris conscience que chaque acteur a une connaissance de ses transports, mais que la filière n’a pas de vision agrégée de l’ensemble des flux. Dans une volonté d’améliorer…
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