« Nous sommes clairement face à un développement de ravageurs secondaires dans les vergers, dont l’hoplocampe. Cela s’observe surtout en verger bio, à la différence des surfaces en conventionnel où les insecticides à large spectre contrôlent en partie les populations, même si le problème y est non négligeable désormais », indique Benjamin Gandubert, ingénieur de recherche au CTIFL, centre de La Morinière.