La dégradation de la situation sanitaire liée à la Covid-19 a contraint les organisateurs du congrès de Légumes de France à reporter l’événement en novembre 2021.
En 2020, la Covid-19 avait entraîné la fermeture des portes du Salon de l’agriculture un jour plus tôt. Pour 2021, elle a eu la peau de l’événement tout entier !
Dans le contexte du confinement lié à la crise de la Covid-19, et informée du besoin en main-d’œuvre dans les filières agricoles, La Croix-Rouge a proposé à la chambre d’agriculture de l’Hérault et à la fédération des fruits et légumes d’Occitanie d’insérer des jeunes réfugiés érythréens dans les filières fruitières de la région.
En raison de la crise sanitaire, le comité d’organisation du Fruit Attraction a décidé d’annuler l’édition 2020 du Salon qui devait se tenir du 20 au 22 octobre prochains à Madrid.
La filière des fruits et légumes frais a dévoilé ses 21 propositions pour répondre de manière opérationnelle aux conséquences avérées de la crise du Covid-19.
Suite à la crise du coronavirus et à son impact négatif sur le secteur des fruits et légumes, la Commission européenne a adopté le 7 juillet une série supplémentaire de mesures exceptionnelles pour apporter un soutien aux producteurs.
Le tribunal judiciaire de Tarascon a rejeté le recours de la CFDT contre des exploitations agricoles des Bouches-du-Rhône et la société d’interim Terra Fecundis, dans le cadre de la découverte de cas de Covid-19 chez des saisonniers étrangers.
Dans sa lettre d’information publiée le 19 juin, Légumes de France, l’association spécialisée de la FNSEA, a indiqué que le groupe Creno faisait pression sur ses fournisseurs afin qu’ils ne fassent pas appel à des saisonniers de l’agence Terra Fecundis.
Action Logement et le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation ont décidé d’accompagner les saisonniers du secteur agricole et les salariés confrontés à une perte de revenus du fait de la crise.
Fortement touchée par la crise du Covid-19, la filière cidricole va bénéficier d’un plan d’aide du Gouvernement, doté d’ une enveloppe de 5 millions d’euros . Une avancée, selon les organisations agricoles, même si celle-ci leur semble insuffisante.