Le premier élément notable de l’étude est que 92 % des sondés estiment que les médias ne reflètent pas une image juste et réaliste de leur métier. La quasi-totalité des producteurs interrogés considèrent en effet que les médias font des « reportages à charge », « du sensationnalisme », « du buzz ». Beaucoup des sondés regrettent d’être présentés comme des « pollueurs » ou des « assassins » : ils pensent que les médias parlent de leur métier sans réellement le connaitre.
Le deuxième élément important est que 98 % des producteurs sont fiers de leur métier, malgré ce contexte médiatique plutôt agressif. Et d’ailleurs, 71 % d’entre eux recommenceraient le même métier, malgré les difficultés qu’ils rencontrent.
En ce qui concerne, justement, ces difficultés, ils sont 73% à considérer que les contraintes réglementaires sont un frein au développement de leur activité : qu’elles soient d’ordre environnemental ou social, les producteurs de pommes en France ont beaucoup plus de normes à respecter que les autres producteurs des pays européens et du monde.
Pour finir, un producteur sur deux annonce qu’il est prêt à prendre la parole pour expliquer la réalité de ses pratiques. Ils sont, dans la réalité, relativement peu nombreux à oser le faire. Et pourtant, leur avenir est entre leurs mains : c’est à eux d’ouvrir leurs vergers, d’expliquer la réalité de leurs pratiques, la technicité de leur métier, et, de manière plus globale, l’amour qu’ils portent à la pomme.
MERCI AUX PARTENAIRES QUI NOUS ONT PERMIS DE REALISER CETTE ETUDE : Agrofresh, Chabas, Dalival, Pink Lady, Carton ondulé de France, BASF, et Phytocontrol
MERCI AUX PARTENAIRES QUI NOUS ONT PERMIS DE REALISER CETTE ETUDE : Agrofresh, Chabas, Dalival, Pink Lady, Carton ondulé de France, BASF, et Phytocontrol