Fondée par la famille Maillard en 1970 et ancrée à Pornic en Pays de la Loire, la Fraiseraie est d’abord un producteur de fraises. C’est en 1975 que les premières confitures viennent rejoindre les barquettes de fruits sur les étals des marchés. L’ère des sorbets commence au début des années 80 avec la naissance de sa première boutique en terre pornicaise. Au fil des décennies, les sorbets deviendront les produits phares et sur lesquels repose en grande partie la notoriété de la Fraiseraie. L’entreprise poursuivra son développement essentiellement en Loire-Atlantique. Dans les années 2000, la Fraiseraie étoffe sa gamme d’épicerie fine avec en fil rouge la fraise. Elle élargit son offre en 2012 avec sa première crêperie, ce qui permet à l’entreprise de compiler quatre métiers : producteur de fruits, transformateur, commerçant et restaurateur.
Une opportunité de communiquer directement auprès des consommateurs
La reprise de l’entreprise par Alain Têtedoie et ses enfants en 2015, s’accompagne par un nouveau site de production et une nouvelle boutique hors Loire-Atlantique : Noirmoutier en Vendée. Forte d’un ADN producteur et militante du bien manger, elle a su développer une chaîne de valeurs allant de la « fourche à la fourchette » en restant attachée à produire ses spécialités sans conservateurs, sans colorants et sans arômes artificiels.Pour Alain Têtedoie, PDG de la Fraiseraie : « Notre adhésion à la démarche Demain la Terre sonne pour nous comme une évidence. Notre ancrage dans le territoire, nos valeurs sociales et familiales, notre sensibilité environnementale nous poussent chaque jour un peu plus à matérialiser notre engagement écoresponsable. »
Pour l’association Demain la Terre, le réseau de 17 points de vente de la Fraiseraie représente une opportunité unique de communiquer directement auprès des consommateurs et d’accroître sa notoriété. Les équipes de la Fraiseraie travaillent d’ores et déjà à la mise en œuvre de la charte Demain la Terre® afin de proposer rapidement aux consommateurs des produits conformes à cette dernière.
