« Il était un fruit » vise les 2 millions d’euros

Dernière innovation chez « Il était un fruit » : une gamme apéritive de pétales de pommes et de carottes, juste séchés et relevés d’épices, sans sel ni huile. Photo : DR
Créée en 2014, la marque « Il était un fruit » propose des fruits et des légumes séchés pour toutes les pauses de la journée, du snacking à l’apéritif en passant par le goûter. L’entreprise valorise des fruits et légumes déclassés qui présentent des défauts d’épiderme ou de calibre, tout en conservant leurs qualités gustatives. Ces fruits et légumes proviennent de producteurs, situés au plus proche de l’atelier de l’entreprise à Montpellier : 90 % à moins de 200 km, le reste ailleurs en France, selon les saisons et les bassins de production. Objectif : moins de kilomètres et une vraie relation partenariale avec les producteurs.
La marque est déjà présente en grande distribution dans environ 1 000 points de vente (partout en France à Carrefour, Auchan, Géant, Monoprix et régionalement à Intermarché, Leclerc, Système U) aux rayons épicerie salée ou fruits et légumes ou snacking. Et également, une présence importante en circuits spécialisés avec plus de 50 points de vente (en particulier dans les magasins vrac Day by Day) et en restauration hors domicile : restauration scolaire, vente à emporter en cafétéria d'entreprise, stations-service.

Une levée de fonds de 1,6 million d’euros

Tous les ans, « Il était un fruit » multiplie par deux son chiffre d’affaires avec un objectif en 2020 : viser les 2 millions d’euros. Pour cela, la marque ambitionne de pénétrer toute la grande distribution et d’être largement diffusée en restauration hors domicile, que ce soit en scolaire ou dans des cafétérias/snacks. Afin de soutenir son développement commercial et marketing, l’entreprise vient de conclure une nouvelle levée de fonds de 1,6 million d’euros auprès de ses partenaires historiques et de business angels.
 
En 2020, la ligne de transformation va être davantage automatisée. «Nous voulons multiplier par 3 nos capacités de séchage pour poursuivre notre croissance et optimiser nos coûts de production, afin de rendre nos produits accessibles au plus grand nombre», Laure Vidal, sa fondatrice. L’entreprise va ainsi investir dans un tunnel de séchage en continu.

 
 

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