Rappelons que suite à ce premier épisode de grêle, qui avait été d’une rare violence, les pertes avaient déjà été estimées à 13 000 tonnes d’abricots et 3 000 tonnes de pêches sur les seize entreprises de l’AOP Pêches et Abricots qui explique que « les 10 prochains jours, permettront, avec les premières cueilles dans les bassins de production, de préciser la situation, mais c’est une part importante des abricots Bergeron qui est, soit perdue, soit rendue impropre à la commercialisation en frais».
Les producteurs en appellent à la distribution
Si les producteurs annoncent qu’ils vont « faire le maximum pour approvisionner le marché en produits de qualité, conformément à leurs engagements », ils demandent aujourd’hui aux distributeurs de continuer à animer les ventes d’abricots, dont la qualité gustative est appréciée cette année.« Il est nécessaire, de tenir compte de ce nouvel équilibre de marché, pour atténuer l’impact de ces accidents climatiques à répétition, difficiles à supporter pour de nombreux producteurs », insiste l’AOP Pêches et Abricots de France.
