Les pommes attirent les Parisiens

Thierry Mellenotte, directeur de Pink Lady Europe et Catherine Megelas, community manager, sur le 1er stand Pink Lady au SIA 2016. Photos : Olivier Lévêque/Pixel Image
Pour la première année, Pink Lady a choisi de prendre un stand au Salon de l’agriculture (hall 2.2 D 017). À travers un parcours pédagogique au fil des saisons, les visiteurs peuvent découvrir les travaux au verger, avec les explications de trois producteurs de Pink Lady présents sur le stand. À la fin du parcours: une pomme offerte à chacun et un jeu de 7 familles pour les enfants. Le succès est au rendez-vous à en écouter Thierry Mellenotte, directeur de Pink Lady Europe et Catherine Megelas, community Manager:

"Les trois premiers jours, nous avons déjà reçu 15 000 personnes sur le stand! C’est une vraie réussite. Notre objectif est d’aller à la rencontre de nos consommateurs, pour apporter de l’info sur cette pomme qui est déjà bien connue. L’objectif n’est pas de progresser sur la notoriété, où nous arrivons aujourd’hui à un taux de notoriété de 80 %, mais d’apporter du contenu, en expliquant le travail de l’arboriculteur, avec un stand très pédagogique. Avec ce succès, nous espérons renouveller l’expérience l’année prochaine!"

 

Evènement primordial pour toucher le grand public

Du côté de la pomme bio Juliet (hall 2,2, D 029), le Salon de l’agriculture est un rendez-vous annuel depuis 7-8 ans, souligne Michel Mennechez, commercial France. Entre 2008 et 2016, la production est passée de 90 à 4 000 t de Juliet, commercialisées à 65% sur le marché français, et 35% à l’export (Asie du Sud-Est). L’objectif est de faire découvrir et apprécier cette variété de pomme, exclusivement cultivée en bio, à travers plusieurs producteurs présents chaque jour sur le stand, comme l’explique Michel Mennechez:

"Les visiteurs nous demandent où ils peuvent acheter notre pomme, et posent aussi beaucoup de questions sur les techniques de production en bio. Contrairement à Pink Lady, connue du grand public, Juliet doit gagner en notoriété. Si nous faisons aussi des salons B to B, nous nous rendons compte à quel point un événement comme le Salon de l’agriculture est primordial pour la faire connaître du grand public, consommateur de bio ou non. Outre les 60% des volumes vendus en circuits bio, la part de 40% vendue via la GMS et les grossistes conventionnels ne cesse de croître!"

Michel Mennechez, commercial France Juliet, en compagnie de deux producteurs, sur le Salon de l'agriculture 2016.

 

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